Bonsoir à toutes et bonne fin de semaine !

Vous le savez désormais  Essence et moi, ce n'est point le grand amour.

Pourtant, comme j'ai ramené quelques petits flacons du pays des moutons, des trèfles, de la pluie et de la bière, j'ai décidé de donner une chance supplémentaitre à la marque en dégainant Walk on the Wild Side.

D'emblée, je sais que ce vernis a des chances de conquérir mon petit coeur car son nom me parle.

Hey babe, take a walk on the wild side. I said hey honey, take a walk on the wild side.

Lou Reed chanteur du Velvet Underground, vous connaissez ? Bon vous pouvez me dire que vous n'étiez pas nées.

Moi non plus.

Mais cette chanson me rappelle quelques petites soirées, où, pré-adolescente, je me délectais de la station de radio Ouï FM, de son slogan (Ouiiiii Rock you) et de Maurice, l'animateur pas gentil. Bref, de bons souvenirs du temps où j'étais naïve et insouciante.

Et si vous ne connaissez pas, la vidéo se trouve au bas de cet article.

Walk on the wild side est un petit vernis de couleur kaki foncé, comme j'aime, agrémentée de toutes fines paillettes vertes.

J'ai un faible pour ce genre de petits flacons : déjà, ils sont ergonomiques. De plus, ils possèdent des petites arêtes (enfin elles sont rondes, donc, non Croushy, ce ne sont pas des arêtes) au niveau du goulot, comme certains mascaras, qui permettent de bien fermer le flacon, et donc d'éviter certains accidents.

On sent le petit clic, c'est bon on peut maltraiter l'animal sans prendre le risque d'assister, impuissante, à une expulsion dudit vernis vers notre beau parquet lustré.

Bon. Sinon, il y a le pinceau de l'enfer, le petit rabougri, plat et épais, comme je les déteste.

J'ai peur au moment de l'application, et finalement ce n'est pas si horrible que ça : en effet, le gros pinceau m'empêche bien d'être précise, mais la matière est bien fluide, donc s'étale facilement, sans accroc, ni gros débordement.

Il est opaque en deux couches et sèche relativement rapidement. Quant à sa tenue, elle est plus que correcte.

Au niveau de l'effet : je suis séduite ! On ne voit pas bien les paillettes, mais c'est légion avec ce type de vernis. La couleur correspond parfaitement à mes attentes : bien foncée, profonde. Un vert tirant légèrement vers le gris qui se marie facilement avec tout type de couleur.

Je valide, j'adhère. Bref, je suis contente.

Place aux photos :

Niveau déco, je retente un dégradé vertical. Et c'est encore un bel EPIC FAIL. Ce genre de gradient m'est vraiment difficile à effectuer, donc j'utilise une couleur discrète, juste quelques tons au-dessus du Walk on the wild side, Dragon d'A-England.

Je veux prendre le moins de risques possibles, mais du coup, c'est raté : on voit à peine le dégradé et la différence de teinte.

Ce n'est pas grave : je m'entraînerai - nuit et jour s'il le faut - afin d'obtenir un jour un gradient vertical digne de ce nom !

Qu'en pensez-vous ?

 

 

 

 

Bonsoir à toutes !

Je vais vous parler aujourd'hui d'un vernis assez original qu'Anne de Polishinail m'a envoyé.

Je ne vous cache pas que j'ai toujours voulu essayer les vernis de type Jelly à paillettes. Leur concentration sur la blogosphère, augmentant de façon exponentielle, a bien attisé ma curiosité.

Grâce à la boutique, c'est désormais chose faite, avec un petit bijou de la marque Golden Rose : Le Jolly Jewels 113. Les noms sont toujours aussi glamour, vous pouvez le constater.

Voici donc ce rose pétant (comment ça, vous n'en voyez jamais ici ?) agrémenté de paillettes rondes et octogonales métalisées de tailles et de couleurs différentes.

Au niveau de l'application, elle est assez facile car le pinceau, long et assez fin, me correspond parfaitement. Par contre, on commence à le savoir : le paillettes s'amusent à se placer un peu n'importe où, mais comme elles se portent de façon dense, cela ne pose que très peu de soucis.

L'opacité est étonnante : bien que la première couche soit vraiment translucide (c'est bien le principe des vernis Jelly), une seconde un peu plus épaisse suffit pour recouvrir entièrement la matière ongulaire.

Le vernis sèche vraiment très vite, en quelques secondes, et tient très bien : je l'ai gardé trois jours sans une seule égratignure. Comme la plupart des vernis paillettes, c'est une plaie à dissoudre, on s'en doute bien.

En ce qui concerne l'effet : personnellement j'ai beaucoup de mal avec le rose bonbon, donc je vous mentirais si je vous disais que j'aime ça. Je trouve même que la couleur ne va pas du tout avec ma teinte naturelle. Je le trouve également un peu trop granuleux (un gros mangeur de top coat, en gros) avec ses deux couches. Les paillettes sont par contre magnifiques, orange, dorées et argentées.

 

Je n'en reste pas là, bien sûr, et m'amuse à le porter en superposition sur un vernis noir crème, histoire de...

J'aime bien quand je teste des trucs au hasard et que ça marche du tonnerre.

L'animal prend une teinte violet électrique en couche épaisse et se parre de ses jolies paillettes multicolores de façon à ce que ongles se retrouvent nail artés avec une simple pose de vernis.

C'est le printemps, le carnaval, les confettis et les oiseaux qui chantent : j'adhère et n'hésite pas à le garder toute la semaine.

Bon, le saligaud bouffe tout autant de top cat, mais j'arrive presque à lui pardonner..

Du coup, je vais en acheter des Jolly Jewels, rien que pour m'amuser à faire des superpositions.

Place aux photos !

Et vous, quelle est votre version préférée ?

Les Golden Rose Jolly Jewels sont disponibles sur l'e-shop Polishinail, au prix de 5,95 €

Bonsoir à toutes !

Ce billet n'a pas été programmé. Je me suis précipitée sur mon appareil photo et mon ordinateur après avoir swatché un vernis qui m'a vraiment surprise, et je me suis mise à écrire. Je suis d'ailleurs encore toute enthousiaste 24 heures plus tard.

Dans le cadre de mon partenariat avec la boutique Polishinail, Anne m'a envoyé un petit Golden Rose bien protégé dans son joli flacon mat : le 09. Oui c'est vrai, il y a plus glamour comme nom.

En fait, comme j'ai testé il y a peu un autre vernis violet mat, le Flormar M11 (encore plus glamour !), ce n'est pas ce Golden Rose qui m'a le plus attirée dans mon petit colis venu de Roumanie.

Mais ce week-end, je me suis promenée sur la blogosphère et ai découvert quelques swatch de cette collection. Vous vous en doutez bien, ça m'a donné envie. Du coup le produit testé la semaine dernière, qui me plaît un peu moins, aura droit à son article un peu plus tard.

Au niveau de l'application, il n'y a rien à dire : le pinceau est parfait pour moi car long et assez fin. La matière est bien fluide et la prise en main aisée grâce à son bouchon ergonomique. Le produit glisse tout seul sur la kératine, je n'arrive pas à rater un seul de mes arrondis.

Pour l'opacité, par contre, c'est moyen : je ne peux que vous conseiller deux bonnes couches, ou si vous êtes comme moi une maniaque du vernis qui n'a pas le droit d'être transparent, trois petites. Il sèche vraiment rapidement (plus que les Flormar).

L'effet, quant à lui, dépasse mes espérances. Tout d'abord, on voit beaucoup moins les stries de mes ongles en relief : un point non négligeable.

Ensuite sa couleur est... Surpenante. Je m'attends vraiment à du violet, et c'est plutôt une sorte d'aubergine bien foncée et légèrement pailletée qui apparaît. Et vous savez comme j'aime les teintes sombres et profondes.

Mais ce que j'ai vraiment aimé, c'est la matière de ce vernis : il ne s'agit pas tout à fait d'un mat, et encore moins d'un laqué. Je dirais qu'il est quasiment satiné. Une légère brillance vient donner un peu plus de chic à ma manucure qu'avec un vernis mat lambda.

Et je pense que c'est le genre de produit qui me correspond le plus en ce moment. J'arrive à atteindre un orgasme ongulaire avec un simple violet : du jamais vu !

Malheureusement avec mes ongles gras et mes lavages de mains intensifs ce dernier perd son côté velouté très rapidement.... Sa tenue est tout de même assez correcte pour un vernis sans top coat (au bout de 24 heures, il y a tout de même quelques tout petits éclats).

La prise des photos, entre le super Golden Rose et le retour des beaux jours, est un vrai bonheur ! Je vous laisse juger...

Pour ne pas gâcher mon 09, je fais simple au niveau de la déco, et m'inspire de Liloo avec ses accents nail au pinceau.

Euh... comment dire... Je suis loin des traits fins que fait la dame citée ci-dessus. Mais bon, mon liner Essence argenté fait l'affaire pour un petit truc rapide et efficace. Promis, je m'entraînerai !

Je rajoute également des paillletes violettes, mais elles se fondent un peu dans la masse une fois le top coat posé.

Tant pis, j'aime bien et je garde tout ça.

Place aux photos !

Qu'en pensez-vous ?

Le Golden Rose Matte 09 est disponible au prix de 4,99 € dans la boutique Polishinail :

Bonsoir à toutes !

Aujourd'hui, je vous annonce que je suis désormais partenaire d'une de mes boutqiues favorites, et que, bien sûr, cela me fait super plaisir : il s'agit de Polishinail.

Anne m'a donc gentillement envoyé quelques petits vernis à tester. Pas des Flormar, hein, j'en ai déjà plein, dont une cinquantaine pas encore testés. Mais des Golden Rose, Moyra, Kinetics, que j'ai hâte de vous montrer.

Parmi ces précieux, un animal qui m'a intriguée dès le départ :

Un Moyra Suede Effect... Vous vous rappelé des mésaventures qui me sont arrivées quand j'ai voulu tester mon premier Suede, un Catrice couleur mort noyé ? Eh bien mon côté masochiste a pris le dessus puisque j'ai décidé de le swatcher dès réception du colis.

Niveau application, contrairement au Catrice, je l'adore : je trouve que le pinceau est assez long et peu épais, la prise en main est aisée. Le vernis est quant à lui très fluide.

Deux couches, ni plus ni moins, sont néanmoins nécessaires, mais son temps de séchage est tout simplement hallucinant de rapidité. Je peux me coucher sans craindre les horribles traces de drap que nous connaissont toutes à peine 15 minutes après avoir posé la dernière couche.

Je trouve par contre que sa tenue est assez mauvaise, comme bon nombre de vernis mats. Vous pourrez le voir sur les photos, où les tranches perdent quelques écailles le lendemain matin de sa pose.

Quant à l'effet, je dois avouer que j'ai été bluffée : ce vernis est très joli, bien métallisé et change légèrement de teinte selon la lumière (étrange pour un suède). Il peut en effet se montrer très clair à la lumière vive, comme foncé, limite kaki à l'ombre ou sous les lampes.

Place aux photos !

Vous vous en doutez, je ne peux pas en rester là. J'aime les vernis mats, mais je les trouve plus profonds lorsqu'ils sont top coatés. Je décidé donc de faire un dégradé avec un gris anthracite, le 309 de Flormar.

Je veux tenter un gradient vertical à la Bulleuw. Sauf que voilà, la dame est plus douée en nail art que la Croush, qu'elle l'a fait en dégradant son stamping directement, et que moi, je fais nimporte quoi avec mon applicateur de fard à paupière.

Seul le pouce est correct, donc je ne photographie pas le reste, par honte. En puis j'ai l'impression de ressembler au melon avec cette photo, donc ça me réchauffe le coeur.

Ah oui, et j'ai les cuticules en jachère en ce moment, donc c'est pas la grande pêche nail artistique.

Ma main gauche, encore plus moche, se résout à servir de cobaye pour une version horizontale cette fois-ci de mon gradient. C'est assez discret, peut-être trop mais c'est mon style, et j'avoue aussi bien aimer le 516 laqué qu'en mat car plus foncé 24 heures sur 24, comme tous mes vernis d'hiver.

Qu'en pensez- vous ?

Vous pouvez acheter cette petite merveille chez Polishinail shop :

Bonsoir à toutes !

J'espère que vous avez passé un bon week-end et que je ne vous ai pas trop manqué. Je reviens avec un craquage au CCB pour les nouveaux top coat hyper tendance : les pythons.

J'en avais testé un il y un an, le Barry M, et je dois bien vous avouer que la tâche n'a pas été aisée. J'ai donc décidé de retenter le coup avec des produits plus récents, donc censés être une version améliorée de leurs ancêtres.

Et comme je ne fais pas dans la demi-mesure, j'ai commandé les deux produits disponibles de la collection : Rose Boa et Verdigris.

Comme vous pouvez le remarquer sur la photo superbement retouchée (oui, je n'en suis pas peu fière que voulez-vous), le premier est un rose pastel très clair, et le second un vert d'eau foncé tirant gentillement vers le gris.

Allez hop, on teste le tout !

Voici les bases choisies pour mettre en valeur ces top coat :

Mon chouchou parmi ces vernis est le Vintage Polish d'Eyeko, qui n'est malheureusement plus produit : un vert d'eau très clair et délicat. Il se pose par contre en deux couches assez épaisses, ou trois fines, ce qui rallonge son temps de séchage.

Le pire étant sa durée de conservation :

Oui, vous avez bien lu, c'est 6 mois ! Pour un vernis, c'est un peu court, non ? Bon. Je l'ai acquis au début de ma passion pour les vernis à ongles, c'est-à-dire fin 2010, et je vous rassure : la couleur n'a pas viré au orange, et c'est toujours un vrai plaisir à appliquer. Mais ça fait bizarre, quand même.

Mon premier test sur onglier est donc celui-ci. Comme je me rappelle que, contrairement aux simples vernis cracks, le python ne se pose pas sur une base sèche, je tente l'application entre deux et cinq minutes après avoir délicatement peint mes ongles en vert.

Première déception : comme pour son prédécesseur, il ne faut pas lésiner sur l'épaisseur de la couche de ce top coat, les deux couleurs étant assez translucides. Ce qui est bien, par contre, c'est que l'on peut repasser sur sa couche, si trop fine, dans un délai d'une demi-seconde, bien sûr.

Contrairement aux cracks, les fissures mettent pas mal de temps avant d'apparaître. Au début je panique. Après 5/10 minutes, j'éprouve un malin plaisir à voir le vernis se découper, lentement.

Le résultat est original, mais loin d'être délicat : on dirait plus un effet terre aride que python. De plus, les craquelures sont très profondes, ce qui crée une épaisseur non négligeable. Bref, je ne suis pas fan. Et le rose donne plus l'impression d'une teinte écrue, voire blanche.

Je tente donc après une longue pause de 30 à 45 minutes :

C'est déjà beaucoup mieux, vous ne trouvez pas ? Le rose continue par contre à me décevoir : trop clair, et les fissures ne sont pas assez écartées à mon goût (donc on voit difficilement le Vintage Polish en-dessous). Par contre, le Verdigris me plaît assez.

Un troisième swatch s'impose : avec une autre couleur, le bois de Rose du Flormar 320 et un temps d'attente légèrement réduit, entre 20 et 30 minutes.

Ici, les craquelures sont plus écartées, mais pas assez visibles avec le Verdigris. Quant au rose, je le trouve à nouveau fadasse.

Le test de la dernière chance, sur le joli Prune Raffiné d'Agnès b., s'avère également décevant :

J'apprécie moyennement le coup des fissures épaisse-mais-pas-trop.

Par contre, mon dernier swatch, sur le Rose bébé NFU OH 26 et avecVerdigris me redonne espoir :

En Première conclusion, je n'aime vraiment pas du tout le Rose Boa, qui est pour moi aussi inutile que les cracks blancs. Un gadget de plus, en somme.

Le Verdigris me semble bien plus efficace: j'ai bien l'impression d'un effet python sur la matière ongulaire, bien plus fantaisiste et raffiné que les cracks. C'est ce vernis que je conseillerais.

Pour l'application, je trouve qu'il y a franchement des progrès à faire. Devoir mesurer le temps de séchage de la couche de base, ainsi que l'épaisseur du top coat est loin d'être pratique.

En ce qui concerne l'effet, ma préférence va au vert sur une base préalablement posée 30 à 45 minutes auparavant. Afin d'aller plus vite, le Seche Vite ou le Poshé et 5 minutes d'attente sont tout aussi efficaces.

Enfin, voici le dernier test, et pas des moindres : sur les mains.

Et là, c'est de nouveau le drame : ma couche est trop fine par endroits, ce qui donne une couleur irrégulière, et parfois aucune fissure ne vient s'y greffer.

Je m'énerve, je dissous, je recommence.

Je réussis finalement, après une journée entière de tests et de swatch. Je trouve finalement ce qui se rapproche le plus de l'idéal du python made in Croush :

Le top coat couleur espoir se retracte au niveau des extrémités (arrondi/bout du bord libre) et on voit encore quelques irrégularités dans la teinte. Le pire étant la tenue : en moins d'une journée, et malgré une couche de Poshé, il s'émiette, laissant tranquillement place au Vintage Polish.

En gros, si l'efftet tortue n'était pas présent dans le Verdigris, j'aurais fui. Assez long à faire, demande de l'entraînement... Ce n'est pas ce que j'attends de ce type de top-coat.

Mais j'aime bien mes petits ongles verts comme ça, et c'est l'essentiel, non ?

Qu'en pensez-vous ? Gadget ou innovation dans le monde des cracks ?